Coordinateur environnemental recherché !
Ce sont les incontournables d’un avenir durable
Dans le contexte d’une exploitation commerciale durable et de l’accent croissant mis sur la sensibilisation à l’environnement, le rôle d’un coordinateur environnemental devient de plus en plus important. Les entreprises doivent non seulement se conformer aux exigences légales en matière d’environnement, mais aussi contribuer à un environnement plus propre et plus durable. La nomination d’un coordinateur environnemental permet aux organisations de gérer efficacement leur impact sur l’environnement et de ne pas se perdre dans la législation environnementale étendue.
Mais quelles sont exactement les conditions pour désigner un coordinateur environnemental ?
Table des matières
Cadre juridique coordinateur environnement
Il existe deux classes de coordinateurs environnementaux : le coordinateur environnemental A et le coordinateur environnemental B, en fonction de la taille et de l’impact environnemental de l’entreprise.
Un coordinateur environnemental A est obligatoire pour les entreprises ayant des aspects environnementaux significatifs. Ils gèrent des systèmes de gestion environnementale plus complexes et des installations plus risquées. Souvent, mais pas toujours, il s’agit d’entreprises de classe 1 selon la classification de Vlarem II.
Un coordinateur environnemental B est nommé dans les entreprises à impact environnemental plus modéré, souvent classées comme entreprise de classe 2 selon Vlarem II.
Les deux sont essentiels pour la politique environnementale des entreprises, mais la complexité de leur mission diffère en fonction de la taille et de l’impact de l’entreprise.
Le chemin vers le bon coordinateur environnemental
Ce n’est pas une règle absolue que chaque entreprise de classe 1 doit nommer un coordonnateur environnemental A ou que chaque entreprise de classe 2 doit automatiquement avoir un coordonnateur environnemental B. Afin de déterminer le type de coordonnateur environnemental requis, il faut d’abord déterminer la catégorie de l’entreprise pour chaque catégorie autorisée. Cela peut être vérifié dans l’autorisation environnementale applicable ou sur la base de la liste de classification des sections de permis dans Vlarem II.
Une fois que la classe d’une rubrique est connue (en fonction de facteurs tels que la quantité, la puissance ou la nature de l’activité), il est possible de déterminer si un coordinateur environnemental est obligatoire. Si une entreprise est soumise à cette obligation pour une seule rubrique, elle s’applique à l’ensemble de l’entreprise.
Si un coordonnateur environnemental de classe A et un coordonnateur environnemental de classe B sont requis sur la base des rubriques de la liste de classification, un coordonnateur environnemental de classe A doit être nommé.
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Devoirs et responsabilités du coordonnateur environnemental
Le rôle précis d’un coordonnateur environnemental peut varier en fonction de la taille et du type d’organisation. Voici quelques responsabilités courantes :
- Contribuer au développement, à la mise en œuvre, à l’application et à l’évaluation de processus de production respectueux de l’environnement.
- Veiller au respect de la législation environnementale en effectuant régulièrement des visites sur les lieux de travail.
- S’assurer de l’exécution des mesures prescrites des émissions et des immissions et consigner les résultats.
- Veiller à ce qu’un registre des déchets soit tenu à jour et à ce que l’obligation de notification des déchets soit respectée.
- Communiquer en interne et en externe sur l’impact des activités commerciales sur les personnes et l’environnement et sur la manière dont ces conséquences peuvent être limitées.
- Conseil sur les investissements liés à l’environnement.
- Rédiger un rapport annuel sur les activités et les conseils donnés au cours de l’année écoulée.
Le coordinateur environnemental n’est pas seul
La nomination d’un coordinateur environnemental ne peut être couronnée de succès que s’il existe un soutien interne suffisant au sein de l’entreprise. Cela signifie que la direction doit être consciente des questions environnementales et être disposée à investir dans des technologies et des processus respectueux de l’environnement. Le coordinateur environnemental ne peut être efficace que si l’ensemble de l’entreprise s’engage en faveur de la sensibilisation à l’environnement.
La valeur ajoutée d’un coordinateur environnemental
La nomination d’un coordonnateur environnemental est une étape importante vers des activités commerciales respectueuses de l’environnement. Cela nécessite une combinaison de formation, d’expérience et de compétences appropriées, ainsi qu’un engagement interne envers la protection de l’environnement. Le respect des lois et règlements, la mise en œuvre de politiques environnementales et la sensibilisation au sein de l’organisation sont les points clés de cette fonction cruciale. Les entreprises qui comprennent l’importance du coordinateur environnemental peuvent non seulement se conformer aux obligations légales, mais aussi contribuer à un avenir plus durable.
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